Article du Parisien , 14 avril.
Extraits :
(…) Pour le CPTG, opposé à l’urbanisation du Triangle de Gonesse, la proximité alimentaire passe forcément par le maintien des terres agricoles pour qu’elles puissent retrouver leur vocation nourricière historique. Un combat mené depuis des années par le collectif.
« On est en plein dans le sujet, cela prend tout son sens. Et comme beaucoup d’autres, nous le disions bien avant la crise même si nous étions tous loin d’imaginer une situation comme celle-ci. On espère que cela devienne une vraie préoccupation nationale et que l’on aura le plus de responsables possible qui en tireront les conséquences », poursuit Bernard Loup.