Europa City à Gonesse, dans le Val d’Oise, c’est un gigantesque complexe commercial qui doit voir le jour en 2020. Mais sur place, ils sont nombreux à refuser un tel projet qu’ils considèrent comme inutile et destructeur.
- Par Christian Meyze
- Publié le 21/09/2014 | 11:17, mis à jour le 21/09/2014 | 11:17
France 3 Région
C’est un gigantesque complexe commercial, qui doit ouvrir ses portes en 2020 dans le Val d’Oise, à Gonesse. Encore un! Depuis plusieurs années, ces monstres commerciaux fleurissent les uns après les autres en Ile-de-France, chaque fois un peu plus grand.Comme s’il y avait un manque! Or justement les ventes stagnent, voire s’effondrent, dans ce genre de surface. Alors, on assiste à une sorte de surenchère du gigantisme et de “l’exploit commercial”. Celui de Gonesse affiche lui aussi, comme d’autres avant lui, d’être “le plus grand d’Europe”.
Mais cette fuite en avant permanente finit par devenir insupportable aux yeux de nombreux citoyens et consommateurs qui considèrent qu’il s’agit là d’une course dangereuse et d’une atteinte à l’environnement et au cadre de vie. A Gonesse, depuis quelque temps, la résistance s’organise avant les premiers coups de pioche, notamment autour de la préservation des terres agricoles. Reportage Céline Cabral et Daniel Petitcuenot.
Gonesse et le Val-d’Oise ne veulent pas d’EuropaCity
Europa City à Gonesse, dans le Val d’Oise, c’est un gigantesque complexe commercial qui doit voir le jour en 2020. Mais sur place, ils sont nombreux à refuser un tel projet qu’ils considèrent comme inutile et destructeur.
- Par Christian Meyze
- Publié le 21/09/2014 | 11:17, mis à jour le 21/09/2014 | 11:17
Mais cette fuite en avant permanente finit par devenir insupportable aux yeux de nombreux citoyens et consommateurs qui considèrent qu’il s’agit là d’une course dangereuse et d’une atteinte à l’environnement et au cadre de vie. A Gonesse, depuis quelque temps, la résistance s’organise avant les premiers coups de pioche, notamment autour de la préservation des terres agricoles. Reportage Céline Cabral et Daniel Petitcuenot.